Lorsque l’on parle de la Guyane, on pense à sa jungle et à ses animaux. Et pourtant, la Guyane s’est aussi des cours d’eau immenses serpentant à travers cette jungle dense et sauvage. C’est, en effet, un territoire comportant de nombreux fleuves et affluents (La Mana, le Sinnamary, l’Approuague, la rivière Kourou, et bien d’autre).
Habitant dans l’ouest guyanais, et plus précisément à Saint-Laurent-Du-Maroni, nous allons nous pencher sur le Maroni.
La Guyane regorge de criques et de bras d’eau accessibles qui permettent pour ceux qui le souhaitent de les remonter ou de les descendre à leur guise en kayak, en canoë ou encore en stand up paddle. De notre côté, nous avons opté pour un kayak rigide deux places.
La montagne des singes est un plongeon en pleine jungle amazonienne à quelques minutes de Kourou. Rencontres animales assurées et végétation luxuriante, même les pieds dans la boue.
(Nouvel article depuis un petit moment mais d’autres suivront à propos de notre voyage en Martinique 😊.)
Au village amérindien d’Awala-Yalimapo, il est possible de faire un petit détour par le sentier d’interprétation Kanawa. C’est une des randonnées à faire dans l’ouest guyanais, elle est répertoriée dans les guides sur la Guyane.
De passage sur Mana aujourd’hui, je me suis dit pourquoi ne pas en profiter pour partir à la découverte de la Forêt des Sables Blancs.
Après Shawinigan, Québec et le Lac Saint-Jean, retour sur le lieu du début et de la fin de notre périple canadien : Montréal. Deuxième ville la plus peuplée du Canada et la plus importante de la Province de Québec.
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